- la prévention-planification de sa journée ou des mois à venir pour éviter les conditions stressantes avant qu'elles ne se présentent est de loin le facteur le plus important parmi les quatre envisagés.
- le contrôle des sources, qui inclut des pratiques telles que déléguer certaines tâches, organiser son espace ou encore bien programmer son emploi du temps, toute démarche que l'on peut qualifier de mesures préventives.
- la relaxation et le contrôle des pensées ne permettaient pas d'évaluer le niveau de stress de sujet.
On a tendance à l'ignorer, mais les réactions de stress sont normales et utiles. Dans de nombreuses circonstances, on parle donc de « bon stress ». On sait, par exemple, que le niveau de performance au moment d'une tâche est meilleur lorsqu'il y a une certaine dose de stress, car celui-ci permettrait de stimuler la motivation, de mieux juger les paramètres de la situation et de se préparer en conséquence. Plusieurs personnes, d'ailleurs, aiment cette excitation du stress et la recherchent - dans la compétition, par exemple.
Chez d'autres, moins chanceux, les réactions de stress sont si intenses ou si durables, même dans des situations courantes, que cela nuit à leur fonctionnement social et professionnel. Et chez certains, le système nerveux tarde à enclencher l'indispensable réaction de détente, même après la disparition de l'agent de stress.